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Publié hier, lundi 3 mars, un post de Mehdi Meklat, alias Marcelin Deschamps sur Twitter, laissait entrevoir un humour au goût douteux.Christophe barbier a fait des bébés seropo !/gmH4yqrZ7q — Marcelin Deschamps (@MarcelinDchmps) 3 Mars 2014 Devant les réactions de plusieurs personnes, le chroniqueur de France Inter – il contribue à Comme on nous parle dans le duo «Les Kids» et écrit sur le Bondy Blog – a publié de nouveaux messages.Première nouvelle : je suis sérophobe.— Marcelin Deschamps (@MarcelinDchmps) 3 Mars 2014 Le lobby du sang contaminé ne me lâche plus !— Marcelin Deschamps (@MarcelinDchmps) 3 Mars 2014 Yagg a contacté la station de radio pour obtenir une réaction, mais Mehdi Meklat s'en est indigné: «Mes employeurs trouvent cela inintéressant, explique-t-il au téléphone.Ce ne sont pas des méthodes normales.J'ai un pseudo sur Twitter, il ne faut pas faire d'amalgame entre mon personnage et moi-même.» Le lien entre ses deux identités est aisément disponible sur Internet et avait été mentionné par France TV Info lors d'une affaire opposant Mehdi Meklat à Isabelle Balkany.
Hier encore, le chroniqueur faisait figurer le nom de ses employeurs dans sa description sur le réseau social.@MarcelinDchmps fait des blagues sur les séropos avec @FranceInter & @BondyBlogActu dans sa bio !/d5eYnZcY70 — Michel Poulain (@MichelPoulain) 3 Mars 2014 Le jeune homme n'en est pas à sa première provocation.Dans un portrait réalisé par Les Inrocks et paru en 2012, son sens de l'excès était déjà évoqué: «Il faut le voir sur Twitter, vaguement caché derrière un pseudo depuis longtemps éventé: c’est une vraie terreur.Il se pose en mégalo furieux, insulte à tout va, se moque de tout et de tous avec une férocité indécente… Ça peut aller trop loin (France Inter lui a déjà demandé de retirer un tweet) mais la plupart du temps, c’est drôle à mourir.«Sur Twitter, je joue un personnage, explique-t-il.Je ne suis attaché à rien, je n’ai de compte à rendre à personne, j’ai la liberté de dire ce que je veux.C’est un terrain de jeu, j’y abuse de tout, je ne me mets pas de limite.» «Je peux comprendre qu'on se sente insulté par mes tweets, car ils sont parfois extrêmes, provocants ou insultants, mais il ne faut pas en faire des tonnes, indique-t-il à Yagg.
Cette histoire n'a aucun fond, la mode est aux réactions, mais moi, ça ne m'intéresse pas.J'ai créé un personnage violent, provocant, méchant.Je ne me l'explique pas à moi-même, alors je ne peux pas l'expliquer aux autres.Mais je ne suis pas du tout homophobe.» C'est toutefois de sérophobie dont il est question ici.Je ne savais même pas que ce terme existait.bitcoin pool swedenIl y a d'autres choses à traiter quand on est journaliste.prix bitcoin 2010Si des gens sont blessés, donnez-leur mon numéro.ethereum classic walletMais ils n'auront pas d'explications ou d'excuses.bitcoin jak kupićJ'ai eu à plusieurs reprises des actes engagés, c'est dommage de ruiner tout ça.bitcoin australia ato
J'étais à la manifestation au Théâtre du Rond-Point et en un tweet, on se retourne contre moi.J'espère que la cause homosexuelle a d'autres combats que deux tweets.De toute façon, pour moi, tout cela est déjà allé trop loin.» Contactées, les rédactions de France Inter et du Bondy Blog n'ont pas répondu à Yagg à l'heure où nous publions cet article.soldi in bitcoinMacron's team had earlier announced that the candidate had lodged an official complaint over "the spreading of false information" to try to influence the result of an election.The complaint was filed the morning after a memorable live TV debate between the two presidential election candidates.During one particularly heated exchange in a debate marked by insults and invective the pair argued about the legal issues they faced.After Macron said it wasn’t him that was under investigation by police, referring to the fake jobs allegations facing Le Pen, the far right candidate replied: “I hope we don’t discover you have an offshore account in the Bahamas.” Macron warned her that her suggestion was "defamation".
Judicial sources told AFP prosecutors in Paris had opened a probe following the complaint from Macron, which comes three days before Sunday's presidential run-off vote.A source close to the case told AFP, the complaint targets "information that circulated Wednesday night on the internet" alleging tax evasion in the Bahamas.Marine Le Pen admitted on Thursday morning on French radio that she had no proof of any account in the Bahamas.Later on Thursday a member of his entourage said "we will not hesitate to launch defamation proceedings against anyone who repeats this false information.” They also released an eight page document in a bid to demonstrate the rumours were just fake news.Macron's campaign team called it a "textbook case" of "fake news", saying it was spread on Twitter by accounts close to Kremlin-friendly news sites like Sputnik and RT as well as supporters of US President Donald Trump.Le Pen hit back on French radio on Friday saying she was "not at all" the target of the legal suit and her National Front (FN) party had "absolutely nothing to do" with the rumours.
For his part Macron also took to French radio to rubbish the rumours."I have never had accounts in any tax havens whatsoever, firstly because it is not in my nature and secondly because I have always wanted to return to the public domain,” the former minister of the economy told France Inter radio.«Le Front national […] empêchera l’usage des cryptomonnaies, telles que le bitcoin en France.» Par ces mots, qui concluent un récent communiqué, la présidente du Front national (FN) affiche sa détermination à combattre les monnaies virtuelles, notamment le bitcoin.Pourtant, cette proposition inspirée des mesures russes et chinoises semble complètement archaïque.A l’heure où le numérique apparaît comme la nouvelle révolution, essayer de l’entraver est irresponsable, ou prête à sourire car, de fait, ces monnaies ne peuvent pas être supprimées.Il n’est guère étonnant de voir Marine Le Pen s’émouvoir de l’intérêt grandissant des individus pour cette nouvelle monnaie, tant les principes qui guident son fonctionnement sont aux antipodes du lepénisme.
Le bitcoin propose, en effet, un système totalement décentralisé, sans intermédiaire, c’est-à-dire, sans banques et sans institutions gouvernementales.En résumé, un système aux mains de chaque individu !Les passions dirigistes et protectionnistes du Front national n’y pourront rien faire.Quel dommage, d’ailleurs, car ces monnaies virtuelles prétendument «aliénantes» offrent pourtant la meilleure solution pour échapper au «système».Dans le même communiqué, le Front national critique la politique de taux bas voire négatifs menée par la plupart des grandes banques centrales (notamment européennes et japonaises).voir les populations retirer massivement leur argent des banques, ainsi qu’on peut effectivement l’observer au Japon, où les coffres-forts se vendent comme des petits pains.Mais, dans le même temps, elle plaide donc pour l’interdiction des cryptomonnaies susceptibles de constituer une alternative crédible pour sauvegarder son pouvoir d’achat ainsi que l’admet un rapport de la Banque des règlements internationaux (1).
C’est d’autant plus vrai que la limite informatique posée à la création de bitcoins offre une garantie contre toute menace inflationniste susceptible de dégrader durablement la qualité de cette monnaie.Voilà de quoi désarçonner un parti qui regrette le temps béni de la planche à billets ainsi que l’arbitraire des dévaluations «compétitives», comme en rêve Marine Le Pen.La présidente du Front national poursuit son raisonnement en évoquant les risques que font peser les restrictions gouvernementales contre l’argent liquide sur nos libertés et notre vie privée.Il est vrai que la dernière décision de la Banque centrale européenne (BCE) d’arrêter la production du billet de 500 euros va dans ce sens.Ce que nous combattons aussi !Le bitcoin n’est, certes, pas en soi un gage de confidentialité.Toutes les transactions sont répertoriées sur la blockchain - un livre de comptes ouvert, avec toutes les transactions financières, ne reposant non pas sur des institutions, comme une banque, mais sur un algorithme informatique décentralisé.
Mais le marché du Web offre une large palette de services pour aider les utilisateurs à anonymiser leurs transactions et préserver un minimum de vie privée dans un monde où les prétextes sécuritaires sont de plus en plus instrumentalisés pour renforcer la surveillance des citoyens.C’est justement pourquoi il est illogique d’appeler à l’interdiction du seul contre-pouvoir au système de paiement officiel.Etrange conception de la liberté et de la «propriété de notre argent» que de vouloir nous priver de la possibilité de choisir librement notre moyen d’échange !Etrange conception du peuple souverain que de vouloir restreindre ses alternatives !Enfin, le Front national n’a de cesse d’attaquer les grandes banques, accusées de prendre en otage le peuple.Mais à aucun moment, il ne voit en cette nouvelle monnaie la possibilité donnée à chaque individu de s’affranchir des risques générés par l’oligopole bancaire, auquel s’attaque le think tank Génération libre dans son dernier rapport (2).
Ce n’est sans doute pas un hasard si l’utilisation du bitcoin s’est développée chez nos concitoyens chypriotes et grecs, concomitamment aux monnaies locales d’ailleurs, des peuples qui ont subi la dure réalité du contrôle des capitaux.D’autant plus que le bitcoin, par sa nature, favorise l’épargne, et non l’emprunt : de quoi faire perdre beaucoup de clients aux banques.Ces dernières voient le bitcoin comme une menace, et non comme une opportunité d’accroître leur pouvoir.Ainsi, Marine Le Pen, qui prétend défendre les populations contre les abus des «oligarchies bancaires», sombre définitivement dans la contradiction en dénonçant les monnaies virtuelles qui s’imposent comme les seules alternatives pour se protéger contre d’éventuelles dérives propres à un marché bancaire excessivement cartellisé.L’obsession du contrôle de certains partis autoritaires montre que c’est en opérant une séparation des pouvoirs entre la sphère politique et monétaire que l’on pourra renforcer la démocratie et les libertés publiques contre les tentations abusives des gouvernements de tous bords.