payer en bitcoin en france

– : service web de Montréal qui propose de payer les factures mensuelles provenant de plus de 4000 services et fournisseurs canadiens en Bitcoin en échange d’une commission (1%).la Quadrature du Net : association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet.lecercleducoin.fr : Association francophone sur le Bitcoin, les monnaies décentralisées et les blockchains.ecoleliberte.fr : plateforme éducative gratuite qui met à disposition du contenu académique dans toutes les disciplines des sciences humaines.nos-oignons.net : association à but non-lucratif créée pour collecter des dons afin de faire tourner des nœuds de sortie Tor. : correcteur grammatical open source pour Libreoffice et Openoffice.captvty.fr : logiciel qui permet d’accéder de façon simplifiée aux directs ainsi qu’aux offres de télévision de rattrapage des chaînes de télévision.– wikileaks : média lanceur d’alertes politiques et sociétales.– internet Archive : organisation à but non lucratif consacrée à l’archivage du Web.

– : La fondation Mozilla gère le développement et assure la promotion des logiciels libres issus de la suite Mozilla.– : suite bureautique libre de référence.– : données cartographiques en open data mises à jour par une communauté de cartographes bénévoles – : réseau informatique confidentiel, mondial et décentralisé.
moon bitcoin alternative– : ONG dédiée à la surveillance de la qualité de l’eau.
bitcoin bill generator– : logiciel de montage vidéo.
bitcoin stl– : logiciel de cryptage des emails.
bitcoin easy aps– : gestionnaire de téléchargement open source.
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– : association qui développe et distribue le lecteur multimédia gratuit et libre VLC.– : Organisation pour l’éducation et l’autonomisation des femmes afghanes, pakistanaises et égyptiennes par l’alphabétisation numérique.
bitcoin super miner– : organisation caritative pour l’amélioration de l’éducation, du revenu et de la santé des plus défavorisés.
bitcoin atm nj– dignitas International : ONG médicale impliquée dans la lutte contre le VIH au Malawi (Afrique australe).
litecoin stock market– : centre de recherche contre le cancer.
bitcoin club nigeria– electronic Frontier Foundation (EFF) : Organisation non gouvernementale qui défend la liberté d’expression sur Internet et lutte contre les brevets abusifs.

– torservers.net : haute bande passante du réseau des nœuds de sortie Tor.– : images libres pour les jeux open source.feru.biz : plateforme de blogs gratuite. : jeux de société en ligne.Pour signaler un site, ou si vous souhaitez laisser vos commentaires à propos d’un des sites signalés, n’hésitez pas à nous contacter.Vous pouvez également contribuer à l’enrichissement de cette liste par le biais de ce topic sur le bitcointalk.Certains commerces ou boutiques en ligne proposent déjà le Bitcoin comme moyen de paiement, des listes de commerçants acceptant le Bitcoin existent par exemple sur http://lebitcoin.fr/ ou http://bitcoin.fr.En outre, L’adhésion à l’association Bitcoin France peut être payée avec des Bitcoins.Il est possible d’acheter des bitcoins sur diverses places de marché, en France la première et plus importante est Bitcoin Central.D’autres solutions existent pour obtenir des bitcoins, n’hésitez pas à consultez notre article dédié.

Beaucoup d’événements sont organisés en France autour du Bitcoin et des monnaies décentralisées, la Maison du Bitcoin par exemple offre un espace où les gens peuvent se rencontrer pour apprendre, tester et travailler sur des projets liés au Bitcoin.Des rencontres ponctuelles ont également lieu régulièrement dans plusieurs grandes villes de France comme Paris, Lille ou Lyon, vous retrouverez des comptes rendus ainsi que les dates des prochains rendez-vous sur le site Internet http://bitcoinomie.fr/ ou dans la liste ci-dessous.Si vous organisez régulièrement des événements autour du Bitcoin, n’hésitez pas à nous contacter !Mis à jour le 11/02/2014 | 13:41publié le 11/02/2014 | 13:41Il plane comme un parfum de mystère autour du bitcoin.Depuis l'automne 2013 et l'explosion de la valeur de cette monnaie électronique, chaque semaine ou presque apporte son histoire croustillante : la fermeture en octobre d'un site de vente de drogues où le bitcoin était la seule devise acceptée ; un particulier qui vend sa maison contre l'équivalent en bitcoins de 799 000 dollars ; un Britannique qui jette par mégarde son disque dur et perd l'équivalent de 4,3 millions d'euros…Pour comprendre l'engouement que suscite cette monnaie, j'ai décidé de l'utiliser.

Voici, étape par étape, comment se lancer dans le bitcoin.Première étape pour qui veut faire des échanges en bitcoins : la création d’un porte-monnaie.C’est ce qui me permettra de recevoir et d’émettre des paiements., géré par des développeurs à l’origine du projet, propose plusieurs solutions pour cela.On peut installer un logiciel sur son ordinateur, une application sur son smartphone, ou bien passer par un site tiers qui hébergera le porte-monnaie.Dans les deux premiers cas, je serai responsable de la sécurité de mes quelques centimes de bitcoin : à moins d’avoir fait une sauvegarde en lieu sûr, si mon PC tombe en panne ou si quelqu'un m’arrache mon téléphone des mains dans le métro, mon argent sera perdu.Utiliser un site extérieur a le mérite d’éviter ce problème, mais implique que je devrai faire entièrement confiance au site en question pour héberger mon porte-monnaie.S’il se fait pirater, comme cela a été le cas en novembre pour le service australien inputs.io, je n’aurai aucun recours possible.

Je décide finalement de me tourner vers le site spécialisé Blockchain.info. comme "très simple d'utilisation", et un ami adepte de cette monnaie m'indique que des utilisateurs de la première heure lui font confiance.Par mesure de sécurité, je décide tout de même d'activer l'option de double authentification : pour accéder à mon porte-monnaie, il faudra, en plus d'un mot de passe, entrer un code chiffré à usage unique envoyé sur mon téléphone.J'utiliserai cette précaution sur tous les sites sur lesquels transitera mon argent.Une fois mon compte créé, je me retrouve face à cet écran.C’est propre et joli, mais pas très utile : tant que je n’aurai pas le moindre centime de bitcoin, mon porte-monnaie fraîchement créé ne me servira pas à grand-chose.Pour obtenir des bitcoins, faute de distributeur permettant de convertir son argent liquide en bitcoins installé au coin de la rue, comme c'est le cas à Toronto, trois solutions s’offrent à moi.Je peux vendre des biens ou des services et accepter le bitcoin en guise de paiement, ou mettre mon ordinateur à disposition du réseau afin de vérifier la régularité des transactions et recevoir un peu d’argent en contrepartie (cela s’appelle le "minage").

Je peux enfin choisir la solution de facilité, et échanger mes euros contre des bitcoins.C’est l'option que je retiens.Pour acheter des bitcoins avec des euros, il faut passer par une bourse d’échange, qui sert d’intermédiaire entre les personnes désireuses de vendre leur monnaie virtuelle et celles qui souhaitent en acquérir.Des dizaines de services de ce type existent.Je choisis de me tourner vers Bitcoin-Central, un marché géré par une société parisienne.C'est à ma connaissance la seule start-up hexagonale à avoir investi ce secteur.Là, on ne plaisante plus.Comme toutes les autres plateformes d’échange, Bitcoin-Central exige de vérifier l’identité de ses membres pour éviter les manœuvres frauduleuses et le blanchiment d’argent.Après avoir créé un compte sur le site, je dois donc envoyer à Bitcoin-Central mes coordonnées bancaires, une photocopie de ma carte d’identité ainsi qu’un justificatif de domicile.Durant cette expérience, c'est la seule étape où mon identité est déclinée.

Une fois mes euros convertis en bitcoins, je pourrai les déplacer d’un portefeuille à un autre dans l’anonymat le plus complet.L’étape suivante ressemble à un long tunnel d’ennui.J’ai dû :Attendre que Bitcoin-Central vérifie les informations transmises, ce qui, en fonction de l’affluence, peut prendre une à deux semaines.Virer 250 euros à un établissement bancaire partenaire, et patienter afin que celui-ci crédite mon compte sur le site.Cela peut prendre entre deux et quatre jours.Acheter environ 0,40 bitcoin avec cette somme.C’est instantané, et entre nous un peu douloureux.Virer cette poignée de centimes de Bitcoin-Central jusqu’à mon portefeuille.Le site effectue cette opération une fois par jour.Bref, si acquérir des bitcoins vous prend comme une envie pressante, il faudra y réfléchir à deux fois : le délai risque de vous refroidir.Ça y est !Je suis enfin propriétaire de quelques centimes de la monnaie qui affole les marchés.La somme est dans mon porte-monnaie, prête à être dépensée.

Et comme si ça ne suffisait pas, depuis mon achat, la valeur du bitcoin a augmenté : mes 40 centimes, achetés 250 euros, en valent désormais 268,40.Et ensuite ?A l’heure actuelle, tourner le dos à l'euro pour effectuer ses dépenses courantes à grands coups de bitcoins est impossible.Si, chaque jour, de nouvelles boutiques en ligne annoncent qu'elles acceptent cette monnaie, en France, aucun groupe important de grande distribution n’a encore sauté le pas.Pas question non plus de payer son ticket de bus, sa place de cinéma ou son café dans le bistrot du coin en bitcoins : seule une poignée de "vraies" boutiques acceptent la devise.Plusieurs sites marchands, y compris français, acceptent en revanche la monnaie électronique.Direction donc Achatnet.pro, un site de matériel informatique, pour acheter une clé USB à 1 centime de bitcoin qui pourra plus tard me servir à sauvegarder mon porte-monnaie et limiter les risques de piratage.me Blockchain.info dispose d'une application de porte-monnaie pour smartphone, je n'ai qu'à approcher mon appareil de l'écran pour valider le paiement.

La fenêtre se ferme, la commande est terminée.Au total, le paiement a pris au maximum 5 secondes.Boum.Enthousiasmé, je me rends dans une sandwicherie parisienne qui, paraît-il, accepte les bitcoins comme moyen de paiement.Mais le gérant à l'initiative de cette démarche n'est pas là, et c'est son smartphone qui est habituellement utilisé pour effectuer les transactions dans cette devise.Au téléphone, il m'explique que depuis l'été 2013, en raison du bouche à oreille, "de plus en plus" de clients utilisent le bitcoin pour régler leur commande.S'il est enthousiaste à l'idée que son commerce puisse "pour une fois ne pas passer par les banques", il se refuse pour l'instant à afficher sur sa caisse un autocollant "฿", signifiant qu'il accepte cette monnaie."Le cours fluctue beaucoup trop pour que je puisse intégrer le bitcoin à ma comptabilité de manière plus importante : le sandwich que je vends pour l'équivalent de 6 euros en bitcoins peut en valoir 10 le lendemain".

Lorsque la valeur du bitcoin sera plus stable, c'est promis, il fera son coming-out.Pour déjeuner, je choisis finalement d'utiliser Pizza.fr, un service de commande en ligne qui collabore avec des dizaines de restaurants et accepte les bitcoins.Cette fois, plutôt que d'utiliser mon smartphone, je copie l'adresse du compte qui s'affiche à côté du code QR dans la rubrique "Envoyer de l'argent" de mon porte-monnaie, j'entre le montant demandé, et valide.Trente minutes plus tard, je suis livré.Pas mal.En fait, qu'il s'agisse d'effectuer un paiement en ligne, de rendre l'équivalent de 5 euros à un ami qui vous a payé un verre la semaine dernière ou de faire un virement à l'autre bout du monde, le principe est le même : il suffit d'entrer l'adresse du compte de votre interlocuteur dans votre porte-monnaie et de valider la transaction.Pas de problème de conversion dans la monnaie du vendeur, frais de transactions proche de zéro... Le résultat est convaincant.Reste que si le bitcoin suscite tant d'engouement depuis quelques mois, ce n'est pas tant pour les avantages apportés par sa technologie que pour l'opportunité d'enrichissement que certains voient dans cette nouvelle monnaie.

Entre janvier 2013 et janvier 2014, la valeur d'un bitcoin a en effet été multipliée par 73.Et à en croire Philippe Herlin, chargé de cours au Conservatoire national des arts et métiers et auteur de La révolution du bitcoin et des monnaies complémentaires (Eyrolles, 2013), le phénomène "va continuer à prendre de l'ampleur" : la quantité de bitcoins en circulation est en effet limitée par le réseau, et le prix à payer pour en obtenir augmente en même temps que la demande.Durant la rédaction de cet article, le cours du bitcoin n'a pas suffisamment varié pour me permettre de gagner de l'argent en revendant mes quelques centimes contre des euros sonnants et trébuchants.Peu importe : comme à la Bourse, rien ne m'empêche de passer un ordre de vente qui s'exécutera lorsque le cours aura atteint un certain seuil.Pour cela, je dois transférer ma monnaie virtuelle sur un compte généré par Bitcoin-Central, la plateforme d'échange que j'ai utilisée pour convertir mes euros en bitcoins.

Une fois cela fait, je n'ai qu'à indiquer le prix plancher auquel je souhaite vendre mes quelques centimes de bitcoin, et attendre qu'une demande corresponde à mon offre.Attention toutefois : le taux de change euro-bitcoin n'est jamais exactement le même sur toutes les plateformes d'échanges.Si une autre semble plus avantageuse lorsque vous souhaitez vendre, ne vous précipitez pas forcément dessus : il faudra à nouveau passer par l'interminable processus de vérification de votre identité.Si le cours du bitcoin est encore trop calme à votre goût, il existe un autre moyen de gagner (ou de perdre, c'est selon) de l'argent rapidement : parier sur d'autres monnaies virtuelles.Le bitcoin a en effet fait une floppée de petits aux noms plus ou moins jolis.Litecoin, namecoin, novacoin, dogecoin, terracoin, primecoin... comme leur illustre prédécesseur, ces devises s'échangent sur des places de marchés.Mais pour la plupart, elles sont trop jeunes pour être converties en dollars ou en euros.

Leur cours s'établit alors par rapport au bitcoin.Un site spécialisé recense pas moins de 80 monnaies électroniques, ainsi que l'évolution de leur cours par rapport au bitcoin.Une d'entre elles me tape dans l'œil : le dogecoin, dont la valeur a augmenté de 73% en 24 heures., une place de marché pour traders frénétiques qui indexe les monnaies virtuelles quelques jours seulement après leur naissance.Je m'inscris, verse 0,014 centimes de bitcoin sur le site, et les utilise pour acheter 6 045 dogecoins.La suite a de quoi me causer des maux de tête : pour calculer mes gains, il me faut d'un côté surveiller l'évolution du cours du dogecoin par rapport au bitcoin, et de l'autre, celui du bitcoin par rapport à l'euro.Lentement mais sûrement, le premier baisse, tandis que le second fait de légères montagnes russes.Je finis par retirer ma mise : j'ai perdu 0,001 centime de bitcoin dans la bataille.Mais au fait : si, demain, mes quelques centimes de bitcoin voyaient leur valeur multipliée par dix, devrais-je payer des impôts sur le bénéfice généré par leur revente ?