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Editor’s Note: Article updated to include social media posts covering the news story.Ethereum took a drastic dive this morning as news came in that the DAO smart contract address is being drained of ether in an ongoing and developing news story.Millions of ether are moving to an unkown address with some suggesting that it may be a recursive split hack.Griff Green, spokesman for slockit, the creators of the Dao, stated on the DAO slack channel: “The DAO is being attacked.It has been going on for 3-4 hours, it is draining ETH at a rapid rate.This is not a drill.for (var i = 0; i < 100; i++) { eth.sendTransaction({from: eth.accounts[4], gas: 2300000, gasPrice: web3.toWei(20, ‘shannon’), data: ‘0x5b620186a05a131560135760016020526000565b600080601f600039601f565b6000f3’}) } Griff Green further added that his advice was as follows: “1.If anyone knows who has the split proposals Congo Split, Beer Split and FUN-SPLT-42, please contact @griff on The DAO’s Slack.We need their help!

If you have made a split proposal already and have the ability to split, please do so asap.If your tokens are blocked vote yes on split proposals.If your tokens are free, you have to make your best judgement call.If you want to help spam the Network so Christoph Lefteris Vitalik Gustauv and all the other geniuses can mount the counter attack… “ It is not clear what exactly is going on and the above information is just coming in as the story is currently developing and may be quickly changing.As such, readers are advised to exercise caution and good judgement.The news is making waves on Twitter, with an observer digging deeper into the plausibility of a hack.Attacker -> https://t.co/nTOJrE0paB DAO -> https://t.co/n7vknHAS4o — Angelo฿TC (@AngeloBTC) June 17, 2016 The DAO Security Advisory – Live Updates – https://t.co/t3COf1dH5b — Slock.it (@slockitproject) June 17, 2016 CCN is keeping tabs on the breaking news and will update the article as this story develops.

L’EDCON (European Ethereum Development Conference) s’est tenue à Paris les 17 et 18 février à l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris – Europe (ESCP).L’événement était organisé par LinkTime avec le support de la Fondation Ethereum mais aussi de l’Asseth (association française à but non lucratif ayant pour objet la promotion et le développement du protocole Ethereum) et de la Chaintech (association française favorisant la visibilité et la synergie des acteurs blockchain francophones).Les conférences ont couvert la technologie Ethereum dans son ensemble.Les sujets de discussion concernaient, entre autres : C’est donc dans la capitale française que les développeurs Ethereum venant du monde entier s’étaient donné rendez-vous.Si les premières conférences étaient focalisées sur le développement du protocole lui-même, de nombreux chefs d’entreprise ont également présenté leurs applications décentralisées, prouvant ainsi que la blockchain d’Ethereum est bien fonctionnelle.

C’est Pandia Jiang, fondatrice de Link Time, la société chinoise organisant l’événement, qui a entamé la journée de conférence par son discours d’ouverture.Le secrétaire général de l’ESCP Europe, Etienne Desmet, a salué l’esprit d’initiative et d’innovation de la communauté Ethereum et souhaité la bienvenue à tous les membres présents sur le campus parisien, suivi par Alexis Collomb, du CNAM, puis Jean-Christophe Labarre, de RCI.
azure bitcoin minerJérôme de Tychey, Président d’Asseth, a introduit et modéré l’ensemble des interventions.
bitcoin mining gratisVitalik a ouvert le bal en introduisant la notion de crypto-économie : il s’agit de construire des systèmes possédant certaines propriétés, où la cryptographie permet de prouver la validité de ces propriétés dans le passé et où l’incitation économique les préserve dans le futur.
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Il a tout d’abord présenté Bitcoin, basé sur la proof of work, les signatures cryptographiques et la fonction de hachage, puis a élargi les problématiques autour du maintien d’une blockchain, afin de suggérer le proof of stake comme une méthode mieux adaptée.Les slides de la présentation de Vitalik Buterin autour du concept de crypto-économie Après ces explications quant au choix futur du proof of stake en ce qui concerne Ethereum, V. Zamfir a donné les caractéristiques de Casper – le système PoS qui sera utilisé dans la version finale du protocole – dans une présentation dense et technique.
bitcoin bronx nyJustifiant en premier lieu ce choix par son approche – qu’est-ce qu’un protocole “correct par construction” ?
bitcoin mining texas– il a présenté les bases du consensus désiré : sécurité, longévité, tolérance aux pannes byzantines, capacité à fonctionner même lorsque tous les noeuds du réseau ne sont pas synchronisés.
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Le système de proof of stake Casper respecte ces exigences et Vlad Zamfir a démontré la sécurité de ses règles de décision.Les slides de la présentation de Casper par V. Zamfir Les deux core researchers ont présenté leur vision du futur développement de la blockchain d’Ethereum, inspirée par le manifeste signé par plusieurs chercheurs visant à changer les standards du web (Extensible Web Manifesto).
bitcoin hexagonAppliqué à la blockchain d’Ethereum, il s’agit de pouvoir ajouter des capacités de bas niveaux, sécurisées et efficaces, qui réduiront la complexité du système dans son ensemble et donc les bugs d’implémentation.
bitcoin kardashian gameCependant, ces nouvelles fonctionnalités demanderont des hard forks.
bitcoin modiAprès avoir dressé l’état des lieux de la blockchain et de la machine virtuelle d’Ethereum, les deux chercheurs ont schématisé l’aspect “modulaire” que prendra Ethereum à partir de Metropolis.

Ils ont également parlé de l’adoption du langage WebAssembly pour l’EVM et des outils associés (EVM2WASM).Les slides de la présentation de Martin Becze et Alex Beregszaszi Dans cette allocution très technique, le chercheur a d’abord présenté les méthodes de vérification formelle d’un software (ex: Coq, Isabelle ou HOL).Ces méthodes sont très fastidieuses (CompCert : 100 000 lignes de Coq et 6 personnes pendant un an).D’où l’idée du “Proof Market” : humains et machines sont en compétition pour gagner des bitcoins.Selon le chercheur, le réseau Ethereum et sa machine virtuelle conviennent parfaitement au déploiement de “proven-correct software“.L’EVM est déjà définie pour Isabelle/HOL, HOL4, et bientôt Coq.Quelques contributions externes ont été soumises et d’autres chercheurs ont également lancé des projets dans le domaine.Les slides de la présentation de Y. Hirai sur le concept de proven-correct software Présentation de l’Ethereum Name Service, qui sera déployé le 14 mars, dont les fonctions sont : Les slides de Nick Johnson au sujet de l’Ethereum Name Service Martin Holst Swende a fait un retour d’expérience en tant que core security developer sur les “attaques de Shangaï”, une série d’attaques effectuées contre le réseau Ethereum entre le 18 septembre et le 11 octobre 2016.

Il les a décortiquées au niveau de leur structure, puis du code en montrant du doigt les instructions utilisées, et a présenté les différentes réponses des développeurs (EIPs, Ethereum Improvment Proposals).La présentation de M. H. Swende sur la série d’attaques contre le réseau Ethereum Mihai Alisie, co-fondateur d’Ethereum mais aussi de Bitcoin Magazine, a présenté son nouveau projet : un réseau social totalement décentralisé basé sur des fondamentaux tels que la liberté d’expression, l’accès à l’information et le respect de la vie privée.Cette application décentralisée, née de la fusion entre Ethereum et l’IPFS, vise à créer un réseau d’information résistant à la censure de par sa conception.Il a présenté les fonctionnalités de la version alpha sur l’écran géant et incité l’audience à tester et à utiliser Akasha.Dans la continuité de l’exposé de Martin H. Swende au sujet des attaques récentes essuyées par le réseau, Joseph Chow a utilisé la métaphore militaire pour répondre à une question primordiale : qui est responsable de la sécurité d’un software décentralisé ?

Il s’agit bien sûr de sa communauté, et les “troupes” qui luttent contre les blackhats ont reçu leurs instructions : Il a également insisté sur les bonnes pratiques en matière de smart-contracts, notamment le fait d’éviter de faire appel à des smart-contracts que l’on n’a pas codés soi-même et de toujours présumer du caractère malicieux d’un smart-contract extérieur.Les slides de la présentation de Joseph Chow Trustlines Network s’inspire de l’idée originelle de Ripple pour proposer une plateforme globale permettant d’effectuer des paiements mobiles en monnaies pair-à-pair.L’idée est de proposer des services bancaires… tout en se passant des banques.Focalisé sur les facilités d’adoption de la plateforme, notamment pour les non-bancarisés, Trustlines se veut être une application mobile ne nécessitant ni enregistrement préalable, ni carte d’identité, ni compte bancaire ou carte de crédit, et aucun dépôt en monnaie fiat ou en ethers pour être fonctionnelle.

Heiko Hees a révélé les grandes lignes des fondations techniques de l’application.Les slides de la présentation de Trustlines Network par Heiko Hees Jeff Coleman a répondu dans cette intervention de haut niveau à la problématique suivante : comment appliquer le modèle du “state channel” à une grande variété de problèmes sans avoir à construire des implémentations individuelles pour chaque application ?La réponse se trouve dans “l’instanciation contrefactuelle”.Le concept assez subtil peut être résumé ainsi : “comment agir comme si ce qui n’est pas encore arrivé était déjà vrai ?”.Les slides de la présentation de Jeff Coleman Après avoir rappelé les base du minage et des coopératives de minage (les fameuses mining pools), puis les problèmes soulevés par la centralisation des mineurs (confiance implicite, menace de censure de certaines transactions, points uniques de défaillance), Loi Luu a présenté sa solution : SmartPool.Il s’agit de remplacer l’opérateur de la mining pool par un smart-contract !

Comment est-ce techniquement faisable ?SmartPool se veut totalement décentralisé, sécurisé, efficient et scalable, open-source et à but non-lucratif.Le contrat sera déployé sur le Testnet en mars et sur le Mainnet en mai.En fonction des financements, SmartPool pourrait supporter d’autres cryptodevises.Les slides de L. Luu – utiliser un smart contract pour organiser une mining-pool La journée s’est conclue par une table ronde autour de la preuve d’enjeu où les développeurs les plus respectés de la communauté ont donné tout à tour leur approche du protocole.C. Jentzsch est entré au petit matin dans le vif du sujet en abordant la gouvernance du réseau.Mais que gouverne-t-on au juste ?Les parties impliquées sont les mineurs, les possesseurs d’ethers (les stakers), les utilisateurs, les traders/spéculateurs, les développeurs du logiciel client et des DAPPs, la Fondation, les chercheurs et les régulateurs.Qui gouverne la blockchain d’Ethereum aujourd’hui ?

C. Jentzsch a suggéré plusieurs pistes d’amélioration : En conclusion, il a posé la question suivante : le modèle de gouvernance actuel est-il suffisamment efficace pour décider d’une mise à jour du mécanisme de gouvernance ?Il a conseillé de s’appuyer sur l’outil actuel de gouvernance on-chain : les smart contracts !Les slides de la présentation de C. Jentzsch sur les mécanismes de gouvernance Aron Fischer a dressé l’état des lieux de Swarm, le cloud décentralisé du réseau : Cependant, l’intégralité du cluster a dû être redéployée par deux fois, à cause d’un usage massif mais aussi de problèmes de performance.A. Fischer a évoqué les applications actuelles (Swarm Explorer, Swarm Photoalbum, tracking ENS, bulletin board) et les prochains développements (intégration FUSE, compatibilité avec Mist, accessibilité via Web3.js).Il a également justifié la mise en place du testnet de Swarm et des outils de monitoring associés.La présentation d’Aron Fischer, directement disponible sur Swarm L’objectif du projet Cosmos est de créer un réseau de registres distribués qui résoudra les différents problèmes présents dans les communautés blockchain/cryptodevises.

Le réseau Cosmos se compose de plusieurs blocs parallèles indépendants, appelés zones, alimentées par des protocoles classiques de tolérance aux pannes byzantines comme Tendermint.Certaines zones agissent comme hubs par rapport aux autres et leur permettent d’inter-opérer.L’architecture est une application plus générale du concept des sidechains de Bitcoin utilisant des algorithmes BFT classiques et la preuve d’enjeu plutôt que la preuve de travail.J. Kwon a rassuré l’assemblée quant à la centralisation du protocole Tendermint (100 validateurs) en donnant quelques chiffres : un blocktime de 3 secondes, un modèle de tolérance aux fautes byzantines pouvant supporter jusqu’à 1/3 d’acteurs malicieux au sein du réseau assorti d’un système de pénalités… Le whitepaper de Cosmos, le réseau de registres distribués DFINITY est un cloud décentralisé et intelligent compatible avec Ethereum.Nombreux sont ceux qui pensent que “code is law” : l’approche de Dfinity serait plutôt “artificial intelligence is law“.

Les méthodes de finalisation de DFinity pourraient être jusqu’à cinquante fois plus rapides que ce qu’il est possible de faire aujourd’hui.Primavera De Filippi a comme à son habitude pris du recul par rapport aux problématiques de gouvernance d’une blockchain.Son approche créatrice et féminine a réveillé les geeks de l’assemblée grâce à la présence sur scène d’un plantoïde !Le plantoïde, l’équivalent végétal d’un androïde, est une entité hybride qui existe à la fois dans le monde physique et virtuel, qui se possède, se finance et se reproduit en interagissant avec d’autres entités grâce à la blockchain.Sous sa forme physique, il s’agit d’une sculpture mécanique exposée dans un espace public.Ceux qui la contemplent peuvent «donner un coup de pied ou de nourriture» au plantoïde en envoyant des tokens dans son portefeuille.Juridiquement parlant, les plantoïdes n’ont pas de statut légal puisque la loi ne reconnaît pas de personnalité aux marchandises ou aux choses.

Pourtant, par opposition aux pièces d’art traditionnelles, les plantoïdes ne sont pas achetés ou vendus et ne peuvent pas non plus être considérés comme des objets.Même s’ils sont autonomes, les plantoïdes exigent l’interaction d’autres espèces pour subsister et se reproduire : la reproduction d’un plantoïde est permise par la participation humaine, coordonnée via des contrats intelligents et la technologie blockchain.Le but d’Oraclize est de fournir un support de données pour applications décentralisées, effectuant la connexion entre cryptodevises/blockchains, APIs web et DAPPs.Gavin a fait le point sur Parity, le client Ethereum le plus léger et le plus rapide, pouvant être intégré directement dans son navigateur.Aujourd’hui, les entreprises fintech doivent interagir avec les banques, qui contrôlent la finance globale, à cause de la complexité des produits proposés et des réglementations.Pour faire entrer les smart contracts dans la compétition, ces derniers se doivent d’être réellement smart.

Afin d’obtenir ce niveau de qualité, il est nécessaire : La société propose donc un “smart oracle” permettant aux fournisseurs de données d’interagir avec les smart contracts, en intégrant automatiquement les taux des marchés, les sources de données externes, les autres blockchains publiques ou privées.La confiance du public vis-à-vis des organisation caritatives est actuellement extrêmement basse à cause d’un manque global de transparence.Le but de Alice.si est de combler ce manque en fournissant une plate-forme de donation hyper-transparente offrant des garanties sur l’impact concret de l’argent envoyé par les donateurs.La plateforme se base bien évidemment sur le réseau Ethereum mais aussi sur StableCoin.Le projet iEx.ec intéresse particulièrement BitConseil et vous en saurez plus dans les semaines à venir.A l’origine de la technologie, le desktop-grid computing.L’objectif : créer un cloud décentralisé peu coûteux, sécurisé et scalable.

La blockchain d’Ethereum offre au marché global des computing resources transparence, traçabilité et sécurité.Les utilisateurs ou les applications pourront donc accéder à ces ressources (proposées via des smart contracts) directement à partir de la blockchain.Les applications concernées par le cloud distribué d’iEx.ec vont des DAPPs (qui peuvent nécessiter des ressources informatiques off-chain) au Big Data, en passant par le HPC (High Performance Computing, concerne les simulations, le rendu 3D, la recherche biomédicale, l’analyse, le machine learning, la finance etc…).Le cloud est constitué de serveurs de données distribués, de fermes de minage par GPU, le tout optimisé grâce à une gestion intelligente des ressources énergétiques (par exemple en redistribuant l’énergie thermique générée par le fonctionnement des serveurs et des mineurs).Les slides de la présentation d’iExec : Blockchain-based Fully Distributed Cloud Computing L’allocution de W. Mougayar fut très appréciée par le public, que ce soit pour sa vision globale ou ses pointes d’humour.

Il a dressé le bilan de l’écosystème Ethereum : W. Mougayar a livré quelques prédictions pour 2017 : Les slides de sa présentation de l’état des lieux de l’écosystème Ethereum H. Pihkala a présenté Streamr, qui permet de créer très facilement des applications en temps réel basées sur Ethereum.Sa démonstration impressionnante a confirmé la facilité avec laquelle l’interface graphique de Streamr permet de créer ces DAPPs : en quelques minutes, il a pris pour exemple une application qui collecte les données sur le trafic des tramways d’Oslo et qui paie en cryptomonnaies les conducteurs.Cet exemple basique a permis à l’assemblée de saisir la pertinence de l’interface basée sur le “drag and drop” et l’aisance avec laquelle des sources de données externes peuvent être connectées aux smart contracts.Egalement présent la veille à la Maison du Bitcoin, P. Dai a expliqué le principe de Qtum.Il s’agit d’une technologie hybride entre Bitcoin et Ethereum : c’est à la fois un protocole de transfert de valeur mais aussi une plateforme pour DAPPs.

P. Dai a justifié ce choix de création d’une nouvelle blockchain par l’inaptitude des protocoles existants à fournir un système de KYC ou plus généralement à se plier aux exigences législatives, ce qui freine les entrepreneurs.Il a également évoqué les problèmes engendrés par la preuve de travail et notamment la flexibilité du consensus.Ainsi, la blockchain de QTum suivra le modèle UTXO de Bitcoin mais en se basant sur la preuve d’enjeu.Il s’agit d’une approche business oriented : QTum offrira de nombreux modules optionnels (par exemple un module “identité”) et sera compatible avec Bitcoin et Ethereum; il utilisera l’EVM et supportera sa prochaine version (intégration de Wasm).La présentation de D. Khovratovich était axée sur la sécurisation d’un token en vue d’une ICO.La sécurisation du processus et la maintenance du contrat est donc d’une importance vitale.Les menaces principales sont la perte de tokens due à un disfonctionnement du contrat et son inaccessibilité pour les contrats externes, due à des erreurs de programmation.

Les vulnérabilités des smart contracts proviennent donc d’un code peu fiable ou d’une interface peu ergonomique qui incite à l’erreur.Il a donné quelques exemples en Solidity (la fonction approve(), problèmes d’overflow, etc…) et livré son approche des problèmes soulevés : Le projet EthOn a pour but de fournir une ontologie de l’écosystème Ethereum : elle se veut intuitive et claire.Les termes sont en relation les uns avec les autres et les définitions concises.Les bénéfices : Etherisc fournit des applications dans le domaine des assurances décentralisées.S. Karpischek a cité FDS qui permet d’assurer un voyageur contre les retards de ses vols, la première DAPP du genre à avoir été déployée sur la blockchain d’Ethereum en septembre 2016.Etherisc va plus loin : c’est un marché décentralisé de l’assurance dont les applications peuvent s’étendre jusqu’à la sécurité sociale, par exemple.Les slides de la présentation du concept de contrat d’assurance sur la blockchain Ethereum Les deux associés ont focalisé leur présentation sur le projet ÐDaM (Ðistributed Data Markets).

L’objectif de ÐDaM est de créer des marchés de données décentralisés, où chacun a le choix de vendre ou non ses données.Le réseau est basé sur la blockchain Ethereum ainsi que sur le système de stockage décentralisé SWARM.Le cas concret présenté fut celui des données médicales.Melonport propose une infrastructure dédiée au management d’investissements en cryptodevises.Après avoir fait l’état des lieux du secteur et comparé les actifs numériques provenant des crypto-technologies avec les actifs de la finance traditionnelle, Mona El Isa a présenté le protocole qui permet : Elle a également dévoilé l’interface utilisateur.Les slides de la présentation de Melonport La mission de BoardRoom est de rendre la gouvernance des smart-contracts générique et accessible à tous.Grâce à deux interfaces, l’une concernant le smart-contract lui-même et l’autre ses règles, BoardRoom permet de gérer tout cela et assure composabilité, simplicité, modularité, parcimonie, transparence, persistance, robustesse, facilité d’assemblage… Les slides de la présentation de Boardroom sur le protocole ARES Face à la volatilité d’une cryptodevise comme l’Ether, StabL propose de créer des tokens et des produits dérivés… stables comme son nom l’indique, mais toujours sur la blockchain Ethereum.

Les associés ont présenté leur plateforme de trading.La présentation en vidéo de la plateforme StabL On ne présente plus Ledger, entreprise française présente dans le secteur des hardware wallets depuis plusieurs années.Après avoir rappelé brièvement la technologie qui est derrière Ledger, Nicolas Bacca a précisé comment leur nouvelle génération de hardware wallets permet d’interagir avec les smart contracts de façon sécurisée.La présentation de Ledger sur l’apport des hardware wallets aux smart contracts La plateforme Giveth a pour ambition de révolutionner le monde de la donation.Grâce aux smart contracts, Giveth propose un système beaucoup plus transparent et responsable.La présentation de G. Green, à travers l’exemple amusant d’une jeune femme amoureuse des chats mais sans ressources autres que le temps et l’énergie, a mis en lumière tous les défauts des systèmes actuels du charity business.Une allocution pleine d’enthousiasme qui a ouvert des perspectives optimistes et confirmé que la communauté Ethereum est généreuse et tente d’oeuvrer dans l’intérêt général.