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no!steveboehme: codwala, sry just some trolling its early ion the morningRajaabbot: TomBach, thry can die i m not sure Sign in to write.A l’occasion de son salon dédié à l’innovation, la Direction générale de l’armement a réuni plusieurs experts pour s’interroger sur l’utilisation potentielle de la technologie blockchain dans le domaine de la Défense.Il n’y a pas que les adeptes de monnaies alternatives, les geeks et les établissements financiers qui s’intéressent à la "blockchain" et ses applications potentielles.bitcoin kuala lumpurL’armée française aussi commence à regarder de plus près cette technologie qui se cache derrière le fameux bitcoin.>>> Vidéo.litecoin mining guide hardwareLe bitcoin, une monnaie virtuelleA l’occasion du forum innovation de la Direction générale de l’armement (DGA), qui s’est tenu à l’Ecole polytechnique, les 23 et 24 novembre, le DGA Lab a organisé une session spéciale sur le thème de la blockchain et de ses applications potentielles pour la défense.bitcoin cointelegraph
Invité, Eric Larchevêque, co-fondateur de Ledger, une startup qui fournit des solutions pour sécuriser les portefeuilles de bitcoin, a expliqué les grands principes de la technologie blockchain.A lire aussiOn a enfin retrouvé le créateur du bitcoin, la célèbre devise virtuelleComment parier sur le bitcoin, cette devise à haut risqueIl a notamment rappelé que cette "chaîne de blocs" permet d’enregistrer toutes sortes de transactions de manière irréversible, lisible et traçable.Mais aussi qu’il existe deux types de blockchain, les chaînes ouvertes (comme celle utilisée pour le bitcoin) et celles privées, donc plus adaptées au domaine militaire.>>> Vidéo.La Blockchain en 7 minutesLe vice-amiral Michel Benedittini, ancien directeur général adjoint de l’Agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information (Anssi) et expert en cybersécurité, a dressé un panorama des usages potentiels pour la Défense de blockchain internes et cryptées.Elles peuvent principalement permettre l’enregistrement et le partage de données avec un fort besoin d’intégrité des données (pour les plans opérationnels, les règles d’engagement ou encore les plans de minages…), ou un fort besoin de traçabilité (par exemple pour le suivi des effectifs en opération, celui de la situation logistique ou des configurations informatiques).Michel Benedittini a aussi relevé de nombreuses limites qui font que la blockchain n’intègrera peut-être jamais le champ militaire, il s’agit principalement de la taille des blocs de la chaîne, du débit du réseau et donc de sa rapidité, de la possibilité de fonctionner en mode déconnecté, et enfin du coût des infrastructures nécessaires.Le bitcoin fait peut-être un peu moins l’actualité aujourd’hui, mais il y a en tout cas de plus en plus d’acteurs qui s’intéressent à sa technologie.Yann Matarin
C’est par une annonce postée sur le site Reddit que tout a commencé.Le 23 août, Alphabay, l’un des plus grands marchés en ligne accessibles sur le «darknet», où se vendent armes, drogue et faux papiers, dévoile qu’elle acceptera dès septembre les paiements via Monero, pour tout achat via sa plate-forme.Quelques jours plus tôt, deux autres sites avaient décidé de faire de même : Sigaint, un service d’échange de mails qui permet de cacher son identité et sa localisation, et Oasis, un revendeur présent sur le «darknet» âgé d’à peine quelques mois.A la suite de ces changements, Monero a vu sa valeur de marché être multipliée par six.Estimée début août à environ 17 millions de dollars (environ 15 millions d'euros), elle en vaut aujourd’hui l’équivalent de 106 millions, après avoir atteint un pic le 28 du mois à un peu plus de 118.De quoi la propulser sur le site CoinGecko à la quatrième place du classement des crypto-monnaies les plus prisées et valorisées, derrière le Bitcoin, Ethereum et Litecoin.
Lancée en avril 2014, jamais Monero n’avait atteint de tels résultats.Dès ses débuts, on lit pourtant sur son site qu’elle «piquait la curiosité de plusieurs spécialistes du domaine du développement du bitcoin et de la cryptographie».Il faut dire que le slogan de cette monnaie virtuelle, qui fonctionne de manière collaborative, en open-source, est plein de promesses : «sécurisée, privée, intraçable.» Pour relever ce pari, Monero a d’abord choisi de se baser sur un modèle décentralisé et open source, où chacun pourrait contribuer au développement du projet.Elle a ensuite revendiqué une plus grande «flexibilité» dans sa base de code que ses concurrents, ce qui, selon elle, lui éviterait certains problèmes.Parmi eux, la limite de taille des blocs constituant la Blockchain, dont souffre le Bitcoin.Enfin, Monero a misé sur un protocole dit CryptoNote.En 2012, un certain Nicolas van Saberhagen (un pseudo, tout comme Satoshi Nakamoto, le créateur du Bitcoin) le décrivait comme un système permettant aux utilisateurs d’ouvrir un nouveau portefeuille à chaque transaction.
Les adresses associées à chacun d’entre eux n'étant visibles que par l’émetteur et le bénéficiaire des transactions, le système garantit de fait l’anonymat.La crypto-monnaie se distingue en ce point du leader Bitcoin, avec lequel «l’ensemble des transactions est traçable».«, [ces informations] sont privées.» Une fois combinés, ces atouts laissent certains rêveurs.Nombreux sont ainsi ceux qui voient déjà le Bitcoin s’effondrer, et laisser la place à cette monnaie qui se dit plus respectueuse de la confidentialité.D’autres semblent en revanche plus sceptiques.Hantés par le spectre des échecs passés de concurrents comme Dash (autrefois appelé Darkcoin), qui, en dépit d'un fort engouement, n'avait jamais réussi à s'imposer sur des marchés en ligne suffisamment importants, ces internautes craindraient aussi une possible opération spéculative.Sur des forums, ils évoquent la possibilité qu'Alphabay ait volontairement, et de manière artificielle, boosté le cours de Monero, avant de revendre leur propre crypto-monnaie, achetée avant la hausse.